On a l’impression que le nouveau chef de file de l’opposition politique Burkinabé semble ne pas prendre la mesure de l’urgence quand on sait ce que joue la CENI dans le paysage politique où des voix s’élèvent déjà a un probable report des élections municipales ; ne dit-on pas qu’en politique on laisse pas de temps vide c’est le milieu où on agit dès qu’on a une opportunité mais hélas nous constatons depuis le 1 er février bientôt deux mois dans quelques jours ou les deux commissaires de l’UPC ont rendu leurs d’émissions de la CENI et le CFOP est jusque là incapable de pourvoir à leurs remplacement où on peut remarque déjà un vide juridique dommageable au CFOP qui traine les pas ne dit-on pas que le dynamisme d’une structure est sa promptitude a bondir vite et bien.
Le nouveau CFOP a intérêt à allier dans sa démarche vitesse et précipitation quand le besoin se présente c’est dans cette dynamique qu’il gagnera sa crédibilité et nous éviterais les comparaisons entre les différents acteurs qui président la destinée de l’institution.
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