
Le Burkina Faso fait partie de grandes lignes de toutes les revues du monde. Il fait actuellement la une dans la ‘’Diaspora news 2021’’portant numéro 131. En effet, depuis le régime de Kabore, dirait-on depuis 2015, le Burkina Faso dénombre plus 1000 morts et 1,4 millions de déplacés. Le président, de tous ses moyens essaie de maintenir son fauteuil qui est plus que jamais menacé. De faire valoir ses devoirs, mais le pays est à la croisée des chemins.
Six ans que les populations enterrent leurs morts tombés du terrorisme.
Six ans que des populations vivent dans la crainte, six ans que le pays perd ses soldats face aux attaques. Qu’ils soient bien préparés ou pas, les soldats burkinabé tombent au fur et à mesure comme des moutons envoyés à l’abattoir ; et ce, pour des raisons de matériaux peu adaptés aux circonstances de guerre. Des manifestations ont été faites pour clamer le cri de tout le peuple, mais ces manifestants se sont fait collés des procès avec des chefs d’accusation très pesant où ils devront comparaître le 15 décembre prochain.
Un pays où des populations vident leurs localités de peur d’être visité par les terroristes ; un pays où un cri de cœur est considéré comme un attentat,
Un pays où les piliers du pays se plient à la mort un pays où les forces de l’ordre sont traitées comme des enfants choyés sont envoyé à l’internat , pas de repas saint, pas de soins en cas de toute maladie…
Un pays où le leader se sent obligé de tenir un discours à une heure très déraisonnable un pays où pour des problèmes de sécurité, l’Internet mobile est suspendu, Un pays très politique où l’on ne peut plus compter les uns sur les autres
Un pays où rien ne fonctionne normalement, le pays des hommes intègres autrefois est devenu un pays inconnu par son peuple…
Est-ce le début de la fin ?
Annick HIEN