La question du foncier au Burkina est aussi sensible que vulnérables pour les promoteurs immobiliers, raison pour laquelle l’association des promoteurs immobiliers a tenu une conférence de presse ce 12 mars 2021 à Ran hôtel somketa à Ouagadougou. Pour éclairer la lanterne des burkinabè à ce sujet et aussi rassurer l’opinons publique du non-arrêt de l’exercice de leurs activités par le ministère de l’Urbanisme.
« Cette note au fond est adressé aux agents relevant du ministère de l’Urbanisme et également à tous les acteurs de la chaine d’activités avec pour objet de faire une pause pour appréhender la situation afin de dégager des solutions efficaces aux difficultés constatés dans la pratique de l’activités aussi bien au niveau de l’administration que du côté des acteurs » a laissé entendre Roger Nikiema.
Par ailleurs l’association des promoteurs immobilier fait savoir aux Burkinabè qu’ils ne sont pas là pour s’accaparer des terres de qui que ce soit « le promoteur immobilier ne s’accapare pas les terres de qui que ce soit, c’est plutôt d’un commun accord avec les propriétaires terriens qu’ils acquièrent les terres » dixit Roger Nikiema président de l’association. Et d’ajouter « tout le monde, journaliste, ministre, députés payes des terres au Burkina Faso. Si on parle d’accaparement de terre ça doit concerner tous les Burkinabè ». en rappel l’association est composé de 278 promoteurs tous agrées et exerce dans la légalité total.
Oula Fabrice Coulibaly/Afrikibaria.com