Le Directeur General de la Chambre de Commerce et de l’Industrie du Burkina Faso était dans les locaux du Conseil National de l’Economie Informelle du Burkina Faso (CNEI-BF), ce vendredi 21 Mai 2021. Pour s’imprégner des difficultés que rencontre les acteurs de l’économie l’informelle et aussi expliqué d’avantage les missions et les services que la chambre rend aux opérateurs économiques.

Cette visite répond à trois soucis. « Le 05 Mars dernier le président Salif Nikiema et tous son bureau se sont rendu à la chambre de commerce pour échanger avec leur grand frère, le président Mahamadi Sawadogo dit Kadhafi. À cette occasion nous avons beaucoup échangé sur les moyens de pouvoir accompagner la faitière de l’économie informelle pour son développement stratégique et a cette même date que nous avons pris l’engagement de venir rendre visite au conseil national dans son siège » a confié Kargougou Issaka Directeur General de la chambre de commerce et de l’industrie du Burkina Faso.
D’enrichir « Nous sommes là aujourd’hui, nous avons vu les conditions de travail qui ne sont pas les plus idéals, parce que les locaux son étroit. Nous avons pris l’engagement d’accompagner la faitière et trouver un site beaucoup plus adapté pour le développement de leurs activités».
Par ailleurs pour la gestion des sinistres dans les marchés une réflexion est en train d’être menée.
«Il y’a un sujet important des acteurs des marchés et yaar et les petits commerçants. C’est la gestion des sinistres né des incendies que l’on connaît çà et là » a-t-il constaté.
Avant d’ajouter que « Le président de la chambre de commerce a pris l’engagement que nous allons lancer une réflexion avec l’accompagnent du CNEI-BF ; pour la mise en place d’un fond de souveraineté qui serait alimenter par une contribution des operateurs économiques notamment les petits commerçants de sorte à pourvoir soulager un temps soit peu ce qui seraient éventuellement victime ».
Quant à Tondé Boureine vice-président de la CNEI-BF, cette visite est une joie pour eux car cette visite va leurs apportés plus que ce qu’ils attendaient « ils sont dans une dynamique de restriction de l’économie pour faire marcher les affaires ».
Oula Fabrice Coulibaly/Afrikibaria.com