
Après la formation de deux cônes de scories, c’est maintenant une éruption fissurale qui ajoute des mètres cubes de lave par seconde à la surface de l’Islande, dans la péninsule de Reykjanes. Les images de cette activité volcanique continuent à se multiplier en 4K sur YouTube, prises par des drones qui souvent finissent dans les laves.
Sur les écrans de la noosphère, on ne compte plus les images de l’éruption au flanc de la montagne Fagradalsfjall, inondant de flots de matière ignée une partie de la vallée de Geldingadalur depuis le 19 mars 2021. Pour les obtenir, nombreux ont été ceux, fascinés, qui se sont rendus sur le site de l’éruption, à pied, peut-être en raison d’un souvenir profond acquis par les ancêtres de l’humanité alors qu’ils arpentaient il y a 3,5 millions d’années la savane parfois saupoudrée de cendres volcaniques dans lesquelles ils ont laissé des traces leurs pas, comme en témoigne la piste trouvée sur le site de Laetoli en Tanzanie, à 45 kilomètres au sud des gorges d’Olduvai.
Une des vidéos de l’éruption islandaise réalisées avec des drones. © Stefan Forster
Mais, depuis les pas des premiers Hominines, comme Australopithecus afarensis, la noosphère s’est bien développée et elle est passée des bifaces aux drones et aux webcams permettant au village global de voir en direct les manifestations volcaniques des points chauds, que ce soit à Hawaï ou en ce moment, en Islande. Produits d’une croissance qui est maintenant en question, plusieurs de ces drones se retrouvent désormais hors d’usage autour des bouches éruptives, quand ils n’ont pas été engloutis dans la lave. Le journal islandais Iceland Monitor raconte en effet que, en volant au-dessus de ces bouches, des perturbations thermiques et magnétiques désorientent parfois les drones qui s’affolent, perdant notamment leur localisation par GPS. Ils se mettent alors en mode automatique et foncent droit devant eux tant que leurs batteries ne sont pas épuisées, ce qui les conduit parfois à entrer en collision avec la montagne Fagradalsfjall.
Une vue aérienne de l’éruption fissurale qui s’ajoute désormais depuis ce mois d’avril à celle du 19 mars. © Viðburðastofa Vestfjarða
La naissance du premier volcan bouclier islandais depuis des milliers d’années ?
Cela ne décourage visiblement pas plusieurs Homo sapiens qui mettent actuellement en ligne de nouvelles images montrant que l’éruption, toujours en cours, a pris un nouveau tournant avec la naissance ce 5 avril 2021 d’une éruption fissurale à 700 m environ au nord-est des cônes de scories spectaculaires crachant de la lave depuis des semaines. Les fissures ouvertes sont longues de 200 mètres et elles laissent s’échapper des fluides ardents qui dévalent les pentes, formant une longue rivière de feu se terminant en delta dans la vallée de Meradalir.
Comme le montrent ces images, c’est un véritable delta de lave qui se forme à partir de celle crachée par une éruption fissurale. © Bjorn Steinbekk via Storyful
D’après des déclarations de géologues islandais, l’activité volcanique que l’on observe actuellement pourrait signifier que nous assistons à la naissance d’un volcan bouclier. Ce type de volcan aux pentes douces est le produit de laves très fluides qui peuvent donc s’écouler sur de longues distances, comme à Hawaï. L’Islande a compté déjà quelques édifices volcaniques de ce genre mais ils sont plutôt rares et les derniers volcans boucliers islandais se sont formés il y a des milliers d’années, après la fin de la dernière glaciation.
Nul ne sait, en tout cas, quand l’éruption se terminera. Mais si nous sommes bien devant la naissance d’un volcan bouclier, cela pourrait durer des années comme l’explique la vidéo de The Reykjavík Grapevine ci-dessous.
L’éruption islandaise qui a débuté le 19 mars 2021 se poursuit et des images toujours plus spectaculaires ont été filmées. © Jakob Vegerfors
Qu’est-ce que ça fait de rejoindre depuis la route l’éruption qui se tient sur le site de Geldingadalur ? Cette vidéo donne la réponse. Pour obtenir une traduction en français assez fidèle, cliquez sur le rectangle blanc en bas à droite. Les sous-titres en anglais devraient alors apparaître. Cliquez ensuite sur l’écrou à droite du rectangle, puis sur « Sous-titres » et enfin sur « Traduire automatiquement ». Choisissez « Français ». © The Reykjavík Grapevine
Pour en savoir plus
Islande : spectaculaires images d’un volcan en éruption près de Reykjavik, la capitale
Article de Laurent Sacco publié le 21/03/2021
Comme le pensaient les volcanologues, au bout d’un cycle d’environ 800 ans, une éruption s’est produite dans la péninsule de Reykjanes. L’activité volcanique a débuté hier soir dans la région de la Fagradalsfjall, à environ 40 km de la capitale islandaise, Reykjavik.
Les volcanologues la pensaient possible et, si tel était bien le cas, probablement imminente. Une éruption volcanique a effectivement débuté ce vendredi 19 mars 2021 en Islande, dans la péninsule de Reykjanes, et vers 21 h 45, heure de Paris. Comme les géophysiciens s’y attendaient également au moins depuis le 11 mars, elle s’est produite dans la vallée de Geldingadalur, au flanc de la montagne appelée Fagradalsfjall.
Les données géophysiques, comme des images satellitaires et des mesures GPS concernant les déformations et mouvements tectoniques dans cette région (qui se trouve en coïncidence avec le rift médio-océanique de l’Atlantique Nord séparant deux plaques tectoniques), suggéraient en effet qu’une intrusion magmatique, un dike, était active sous la Fagradalsfjall.
Kristinn Þeyr Magnússon, cinéaste de RÚV, a filmé ces images incroyables du volcan à Geldingadalur vendredi soir, le 19 mars 2021. © RÚV News, Icelandic National Broadcasting Service
Une petite éruption peu inquiétante
Le Veðurstofa Íslands, ou Office météorologique islandais (OMI), l’organisme national météorologique, hydrologique, glaciologique, sismologique et volcanologique islandais se veut rassurant. L’activité volcanique est considérée comme mineure à ce stade, avec de petites fontaines de lave et des coulées qui ne constituent qu’un danger très local car occupant une zone inférieure à 1 km2.
Il s’agit d’une éruption fissurale sur de 500 à 700 m de long, sans production notable de cendres et de téphra. L’émission de gaz soufrés à ce stade ne concerne que des personnes s’approchant du volcan. Bien que située à environ 10 km au sud-ouest, la ville côtière de Grindavík n’est pour le moment aucunement menacée et encore moins la capitale islandaise à environ 40 km. L’activité sismique dans la région de l’intrusion de magma a été plus faible ces derniers jours et il n’y a actuellement aucune sismicité intense dans la région explique l’OMI dans un communiqué.
Une webcam diffuse désormais en direct de Fagradalsfjall, face à Geldingadalur.
Comme le montre cette nouvelle vidéo, il est en fait facile de s’approcher de l’éruption et en étant prudent, pour le moment, sans risque notable pour qui fait attention à se protéger des gaz.
Une belle visite au nouveau volcan de Fagradalsfjall, appelé Geldingardalsgos. Pour obtenir une traduction en français assez fidèle, cliquez sur le rectangle blanc en bas à droite. Les sous-titres en anglais devraient alors apparaître. Cliquez ensuite sur l’écrou à droite du rectangle, puis sur « Sous-titres » et enfin sur « Traduire automatiquement ». Choisissez « Français ». © The Reykjavík Grapevine
En Islande, la crainte d’une éruption volcanique imminente près de la capitale
Article de Laurent Sacco publié le 19/03/2021
Depuis plus d’un an, la péninsule de Reykjanes, située en Islande à seulement une quarantaine de kilomètres de la capitale, est secouée par de nombreux séismes. Les géologues craignent une possible éruption volcanique.
Comme aimaient à le dire les regrettés Maurice et Katia Krafft, l’Islande est un paradis pour les volcanologues. Mais, pour les populations de l’île et même pour les Européens, elle peut être à l’occasion un enfer comme l’a prouvé le volcan islandais Laki, entré en éruption le 8 juin 1783. Il avait alors émis une très grande quantité de gaz sulfureux de sorte que 80 % des moutons islandais ont péri dans l’année, ce qui a provoqué une famine tuant un cinquième de la population de l’île. Poussés par les vents, les gaz résultant du nuage volcanique ont également atteint l’Europe continentale dans les jours et les semaines qui suivirent, entraînant une surmortalité.
Nous n’en sommes pas là malgré les signes préoccupants d’une élévation importante de l’activité sismique à l’extrême sud-ouest de l’Islande, plus précisément dans la célèbre péninsule de Reykjanes.
Depuis le 24 février 2021, sismologues et volcanologues sont en alerte en Islande. © euronews (en français)
Une péninsule volcanique touristique
Reykjanesskagi, comme on l’appelle en islandais — ou la péninsule du cap des fumées en français — est largement un désert de cendres et un champ de laves encore fumantes, constituant une zone géothermique et volcanique très active. C’est là que se trouve le fameux Lagon bleu (en islandais Bláa Lónið), la station thermale très prisée des touristes à quarante minutes au sud-ouest de la capitale Reykjavik. Reykjanesskagi, c’est aussi la porte d’entrée de l’île pour ces touristes car on y trouve l’aéroport internationale de Keflavik.
Autant dire qu’une brusque intensification du nombre et de l’intensité des séismes ne peut laisser personne indifférent, surtout si l’on se rappelle des cendres éjectées par le volcan Eyjafjöll en avril 2010. L’éruption du Bardarbunga, en septembre 2014, très spectaculaire elle aussi, était toutefois nettement moins dangereuse.
Une présentation de la péninsule de Reykjanes. Pour obtenir une traduction en français assez fidèle, cliquez sur le rectangle blanc en bas à droite. Les sous-titres en anglais devraient alors apparaître. Cliquez ensuite sur l’écrou à droite du rectangle, puis sur « Sous-titres » et enfin sur « Traduire automatiquement ». Choisissez « Français ». © Inspired by Iceland
Depuis le 24 février 2021, la tension des volcanologues est montée d’un cran et les sismologues surveillent l’activité sismique en cours. Elle n’est pas surprenante car la péninsule de Reykjanes est située juste sur les failles du rift médio-océanique séparant les plaques tectoniques de l’Atlantique Nord. De plus, l’Islande est un point chaud, de sorte qu’il ne s’agit pas d’un morceau de croûte continentale et que l’île croît avec les éruptions volcaniques d’envergures. À cet égard, Reykjanesskagi n’aurait que quelques dizaines de milliers d’années tout au plus et les bords du rift s’y écartent d’environ 2,5 cm par an sous l’effet des forces tectoniques responsables de l’expansion des fonds océaniques.
Des dikes avec du magma en mouvement
Depuis un mois, les géophysiciens enregistrent quelques centaines à quelques milliers de séismes par jour, certains ayant atteint une magnitude de 5,7. La zone la plus active est située aux alentours de Fagradalsfjall qui constitue le volcan central d’un système volcanique plus vaste incluant des fissures et d’autres bouches éruptives comme le Keilir. Les données géophysiques suggèrent que des dikes volcaniques, des intrusions de roches ignées, sont alimentés en magma à une profondeur d’environ 1 km et que celui-ci pourrait s’être rapproché de 100 à 200 mètres de la surface.
Impossible d’affirmer si une éruption va se produire ou pas. Ce que l’on sait, c’est que la péninsule de Reykjanes semble devenir volcaniquement active tous les 800 ans environ ; or c’est précisément le temps écoulé depuis le dernier évènement. Toutefois, les éruptions volcaniques dans la péninsule de Reykjanes sont très rarement explosives, car la zone n’est pas recouverte de glace et le plus souvent fissurale comme à Hawaï. On ne devrait donc pas se diriger, en tout état de cause, vers un scénario comparable à celui de 2010 même si la prudence s’impose.
Les séismes se font sentir jusque dans la capitale de l’Islande. © euronews (en français)
Le volcan le plus actif d’Islande s’est réveillé
Article de Futura avec l’AFP-Relaxnews publié le 23/06/2020
Depuis trois jours, les volcanologues enregistrent une importante activité sismique et volcanique dans le nord de l’Islande tandis qu’une éruption du volcan le plus actif se prépare dans le sud de l’île. Selon les autorités scientifiques islandaises, ces phénomènes présentent des risques limités.
La terre tremble dans le nord de l’Islande où plus de 3.000 secousses ont agité les sismographes ces trois derniers jours, ont annoncé lundi des scientifiques, tandis qu’une éruption est en vue pour un volcan dans le sud de l’île.
Le volcan Grímsvötn, le plus actif de l’île boréale, se prépare pour sa prochaine éruption, la première depuis 2011, ont fait savoir les autorités depuis la mi-juin. Des taux de dioxyde de soufre particulièrement élevés ont été enregistrés, indiquant la présence du magma à faible profondeur. Si l’éruption du volcan Eyjafjöll en 2010 avait provoqué la formation d’un immense nuage de fumée et semé le chaos dans le ciel européen pendant un mois, avec plus de 100.000 vols annulés et huit millions de passagers bloqués, les risques, cette fois, sont jugés plus faibles.
Mais le réveil du Grímsvötn en 2011 avait tout de même entraîné l’annulation de quelque 900 vols, les cendres ayant atteint le Royaume-Uni et les abords du continent européen. Volcan subglaciaire, son éruption déclenche aussi des inondations liées à la fonte des glaces qui le recouvrent.
Un essaim sismique et volcanique secoue l’île
Sur la côte nord, cette fois, trois séismes d’une magnitude supérieure à 5 sur l’échelle de magnitude du moment ont été enregistrés ces derniers jours. L’un d’eux a été ressenti jusqu’à Reykjavík, la capitale, située à 265 km.
Selon l’Institut météorologique d’Islande (l’OMI), l’épicentre de cet « essaim sismique », qui devrait se poursuivre au cours des prochains jours, se trouve à 20 kilomètres au large de Siglufjördur, petit village de quelque 1.200 âmes sur la côte nord islandaise. Et à quelques dizaines de kilomètres d’Akureyri, deuxième ville d’Islande avec près de 20.000 habitants. Aucun blessé ni dégât majeur n’est pour l’instant à déplorer — seuls des glissements de terrain et des chutes de pierres ont été observés près de l’épicentre.
La région est régulièrement secouée par des séismes : située sur la zone de fracture de Tjörnes, cette faille géologiquement active est composée d’une série de zones tectoniques et volcaniques en mouvement. Le dernier événement de ce type a été enregistré en 2012-2013. Le séisme le plus intense dans cette zone remonte à 1755 avec, selon des études conduites bien plus tard, des secousses de magnitude 7.
Ces évènements interviennent alors qu’une partie du pays était déjà sous surveillance : depuis janvier, une série de tremblements de terre secoue les alentours de Grindavik, non loin des eaux fumantes du touristique « Lagon bleu » dans la péninsule de Reykjanes au sud-ouest.
Seconde fissure vue générale Vue de la seconde fissure du Fimmvörðuháls, près de Eyjafjallajökul. © Boaworm License Creative Commons Attribution 3.0 Unported license.
Première fissure La première fissure ouverte sur Fimmvörðuháls, vue de Austurgígar. © David Karnå This file is licensed under the Creative Commons Attribution 3.0 Unported license.
Éruption du volcan Eyjafjöll au niveau du col de Fimmvörðuháls Éruption du volcan Eyjafjöll au niveau du col de Fimmvörðuháls au crépuscule. © Boaworm This file is licensed under the Creative Commons Attribution 3.0 Unported license.
Seconde fissure Vue générale de la seconde fissure sur Fimmvörðuháls, près de Eyjafjallajökull, la lave coule du nord et tournant la neige en vapeur. © Boaworm License Creative Commons Attribution 3.0 Unported license.
Eruption à Fimmvörðuháls non loin de l’Eyjafjallajökull 2 Encore une autre vue des éruptions au Fimmvörðuháls. Le Fimmvörðuháls,terme islandais signifiant en français « col des cinq cairns » est un col libre de glace situé dans le Sud de l’Islande, entre les calottes glaciaires d’Eyjafjallajökull à l’ouest et de Mýrdalsjökull à l’est. Il sépare la vallée du Hvanná et du Hrunar au nord de celle de la Skogá au sud. Crédit : orvaratli
Coulée de lave en provenance de l’éruption de Fimmvörðuháls non loin de l’E Vue d’une coulée de lave au Fimmvörðuháls. Le Fimmvörðuháls,terme islandais signifiant en français « col des cinq cairns » est un col libre de glace situé dans le Sud de l’Islande, entre les calottes glaciaires d’Eyjafjallajökull à l’ouest et de Mýrdalsjökull à l’est. Il sépare la vallée du Hvanná et du Hrunar au nord de celle de la Skogá au sud. Crédit : orvaratli
Eruption à Fimmvörðuháls non loin de l’Eyjafjallajökull Vue des éruptions au Fimmvörðuháls. Le Fimmvörðuháls,terme islandais signifiant en français « col des cinq cairns » est un col libre de glace situé dans le Sud de l’Islande, entre les calottes glaciaires d’Eyjafjallajökull à l’ouest et de Mýrdalsjökull à l’est. Il sépare la vallée du Hvanná et du Hrunar au nord de celle de la Skogá au sud. Crédit : orvaratli
Eruption de l’ Eyjafjallajökull : cendres et éclairs de nuit Spectaculaire image de nuit des éclairs dans le panache de cendres crachées par l’éruption de l’ Eyjafjallajökull. Les frottements entre les cendres les chargent électrostatiquement, créant des différences de potentiel importantes à l’origine de décharges sous forme d’éclairs. Ce phénomène est fréquent dans les panaches volcaniques. Crédit : orvaratli
Eruption de l’ Eyjafjallajökull : cendres et éclairs de nuit 2 Spectaculaire image de nuit des éclairs dans le panache de cendres crachées par l’éruption de l’ Eyjafjallajökull. Les frottements entre les cendres les chargent électrostatiquement, créant des différences de potentiel importantes à l’origine de décharges sous forme d’éclairs. Ce phénomène est fréquent dans les panaches volcaniques. Crédit : orvaratli
Eruption de l’ Eyjafjallajökull : cendres et éclairs De jours et non loin des côtes de l’Islande, le panache de cendres de l’éruption de l’ Eyjafjallajökull est bien visible, ainsi que les éclairs qui le zèbrent et le colorent par endroit en rouge. Crédit : orvaratli
Eruption de l’ Eyjafjallajökull aurore boréal La nuit tombe au dessus du glacier de l’ Eyjafjallajökull et son éruption volcanique crachant toujour un panache de cendres. La tapisserie d’une aurore boréal apparait alors. Crédit : orvaratli
Nouvelle fissure près de l’Eyjafjallajökull. 2010-04-01 Une nouvelle fissure près Eyjafjallajökull dans le sud de l’Islande indique que l’éruption à Fimmvörduháls est encore forte. L’évent s’est ouvert l’après-midi du 31 Mars au nord-ouest de la cheminée d’origine. Cette image satellite indique la zone de l’éruption, le 1er avril 2010. L’image a été acquise par l’imageur Advanced Land (ALI) à bord de la NASA Earth Observing-1 (satellite EO-1). Auteur : NASA-Robert Simmon Crédit : Domaine public
Eruption de l’ Eyjafjallajökull 2010-03-20 Vue des éruptions au Fimmvörðuháls. Le Fimmvörðuháls,terme islandais signifiant en français « col des cinq cairns » est un col libre de glace situé dans le Sud de l’Islande, entre les calottes glaciaires d’Eyjafjallajökull à l’ouest et de Mýrdalsjökull à l’est. Il sépare la vallée du Hvanná et du Hrunar au nord de celle de la Skogá au sud. Auteur : Ulrich Latzenhofer Crédit : Creative Commons Attribution-Share Alike 2.0 Generic
Eruption en islande-Fimmvorduhals-2010-03-26-01 6 ième jour de l’éruption du volcan Eyjafjoll à Fimmvorduhals. Le Fimmvörðuháls,terme islandais signifiant en français « col des cinq cairns » est un col libre de glace situé dans le Sud de l’Islande, entre les calottes glaciaires d’Eyjafjallajökull à l’ouest et de Mýrdalsjökull à l’est. Il sépare la vallée du Hvanná et du Hrunar au nord de celle de la Skogá au sud.C’est au Fimmvörðuháls que s’est déroulée du 20 mars au 12 avril la première phase éruptive de l’éruption de l’Eyjafjöll en 2010. Auteur : Olikristinn Crédit : Creative Commons Attribution 3.0 Unported
Eruption de l’ Eyjafjallajökull 2010-03-26 L’éruption volcanique près Eyjafjallajökull est situé au col du Fimmvörduháls entre le champ de glace Eyjafjallajökull à l’ouest (à gauche) et le champ de glace Mýrdalsjökull à l’est (à droite). Cette image satellite en couleurs naturelles acquise le 26 Mars 2010, par le spectroradiomètre imageur à résolution moyenne (MODIS) à bord du satellite Terra de la NASA. Des cendres et de scories noires couvrent la moitié nord du col de Fimmvörduháls. Les terres sans neige et de couleurs brune ou gris foncé, sont dépourvues de végétation au début du printemps. Auteur : Nasa-Jesse Allen-Robert Simmon Crédit : Domaine public
Intéressé par ce que vous venez de lire ?
Lien externe
Définitions associées